LE PARC NATIONAL SANGAY (Equateur)
LE PARC NATIONAL SANGAY (Equateur)
1975 – création de la Réserve Sangay
1979 – reclassification en Parc National
1983 – inscription au Patrimoine Naturel de l’Humanité par l’UNESCO
1992 – quasi-doublement de la surface (vers le Sud)
1979 – reclassification en Parc National
1983 – inscription au Patrimoine Naturel de l’Humanité par l’UNESCO
1992 – quasi-doublement de la surface (vers le Sud)
Le Parc National Sangay a été créé il y a trente ans.
Il est situé pratiquement au centre du Pays,
C’est un parc très grand - 500 000 hectares - allant de 900 mètres d’altitude à plus de 5000 mètres; il possède donc toute la gamme des climats humides, de froid à tropical (les scientifiques y ont déterminé neuf “zones de vie” différentes!).
Il y a de nombreux fleuves avec un nombre incalculable de bassins principaux et secondaires, et des milliers de “quebradas”.
On y trouve plus de 300 lacs.
Et il y a plus de 60 km2 de zones marécageuses.
Il est situé pratiquement au centre du Pays,
C’est un parc très grand - 500 000 hectares - allant de 900 mètres d’altitude à plus de 5000 mètres; il possède donc toute la gamme des climats humides, de froid à tropical (les scientifiques y ont déterminé neuf “zones de vie” différentes!).
Il y a de nombreux fleuves avec un nombre incalculable de bassins principaux et secondaires, et des milliers de “quebradas”.
On y trouve plus de 300 lacs.
Et il y a plus de 60 km2 de zones marécageuses.
La couverture végétale est exceptionnelle avec une forêt superbe et le “paramo” (il-y-a très peu d’habitants, donc pratiquement pas de cultures).
Il est presque certain que le Sangay soit le Parc National Equatorien qui contient la plus grande diversité biologique.
Avec une telle diversité biologique il est évident qu’il y a, dans le Sangay, une richesse exceptionnelle en papillons.
Malgré cela, et malgré les trente années d’existence du Parc, aucune étude n’y a jamais été réalisée sur les papillons, et, aujourd’hui, on ne sait pratiquement rien d’eux.
En vérifiant avec les Musées et les spécialistes de la faune Andine, il semble que, même dans les meilleures collections, il y ait peu de specimens qui proviennent de la zone du Parc.
Le problème est le terrain: il y a très très peu de pistes carrossables, et, en dehors de la zone du “pàramo” il n’y a pratiquement pas de chemins et il s’agit toujours de forêt dense et extrêmement pentue.
Il est presque certain que le Sangay soit le Parc National Equatorien qui contient la plus grande diversité biologique.
Avec une telle diversité biologique il est évident qu’il y a, dans le Sangay, une richesse exceptionnelle en papillons.
Malgré cela, et malgré les trente années d’existence du Parc, aucune étude n’y a jamais été réalisée sur les papillons, et, aujourd’hui, on ne sait pratiquement rien d’eux.
En vérifiant avec les Musées et les spécialistes de la faune Andine, il semble que, même dans les meilleures collections, il y ait peu de specimens qui proviennent de la zone du Parc.
Le problème est le terrain: il y a très très peu de pistes carrossables, et, en dehors de la zone du “pàramo” il n’y a pratiquement pas de chemins et il s’agit toujours de forêt dense et extrêmement pentue.
pour plus d’informations sur le Parc National Sangay : www.parquesangay.org.ec
